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A l'affiche du gouvernement de Michel Barnier

La composition du gouvernement de Michel Barnier, nommé Premier ministre le 5 septembre dernier, a été dévoilée samedi 21 septembre 2024, en début de soirée.  Le nouveau gouvernement compte 39 membres, dont 19 de plein exercice. Le parti présidentiel garde la main avec 12 membres tandis que la famille politique de Michel Barnier se voit offrir 10 postes, dont 3 ministères d'envergure. Le Nouveau Front Populaire est le grand absent de ce gouvernement, malgré sa victoire aux dernières élections législatives.  Seul poids lourd de ce casting, Bruno Retailleau, figure de la droite conservatrice, entre au ministère de l'Intérieur.  Le président de la Haute Autorité pour la transparence de la fonction publique, Didier Migaud, représente la seule prise à gauche. Cet ancien député socialiste hérite du ministère de la Justice.  La numéro 2 du parti Les Républicains, Annie Genevard devient ministre de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt. Patrick Hetzel ...

Michel Barnier, issu des Républicains, nommé Premier ministre

Michel Barnier a été nommé Premier ministre par Emmanuel Macron, ce jeudi 5 septembre 2024, peu avant 13h30 via un communiqué de l'Elysée.  51 jours après la démission du gouvernement de Gabriel Attal, un nouveau Premier ministre a enfin été désigné par le chef de l'Etat. Ancien négociateur du Brexit, Michel Barnier, 73 ans, est une figure de la droite, ministre sous plusieurs gouvernements.  De nombreux noms avaient circulé ces derniers jours, comme ceux de Xavier Bertrand, Bernard Cazeneuve ou encore Thierry Baudet. Mais jeudi matin, c'est celui de Michel Barnier qui tourne en boucle dans les médias.  Et pour cause, le président de la République et le Républicain ont dîné ensemble mercredi soir à l'Elysée. Michel Barnier s'était montré, jusqu'à ce stade des concertations, très discret. Il satisfait les deux principaux critères fixés par Emmanuel Macron : la "non-censurabilité" par l'Assemblée nationale et la "capacité à faire des coalitions...

L'ambassadeur français convoqué par la Russie après des propos "inacceptables"

La Russie a convoqué l'ambassadeur français à Moscou, ce vendredi 12 avril, après les propos jugés "inacceptables" du ministre des Affaires étrangères.  Lundi, le chef de la diplomatie française, Stéphane Séjourné, avait estimé que Paris n'a plus "intérêt" de discuter avec Moscou.  "Ce n'est pas aujourd'hui dans notre intérêt de discuter avec les responsables russes puisque les communiqués qui sortent, les comptes-rendus qui en sont faits sont mensongers", avait déclaré le ministre, quelques jours après un entretien téléphonique entre les ministères russe et français de la Défense, qui s'était soldé par des récits divergents.  La réaction de Moscou ne s'est pas fait attendre. "L'ambassadeur français a été informé du caractère inacceptable de telles déclarations, qui n'ont rien à voir avec la réalité", a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères. Moscou dénonce "une action consciente et délibérée"...

Les opposants à Erdogan sortent vainqueurs des élections municipales en Turquie

Le parti du président turc, Recep Tayyip Erdogan, a essuyé une défaite historique lors des élections municipales, dimanche 31 mars.  Le principal parti d'opposition a remporté des victoires clés dans les grandes villes turques. Jamais, en plus de 20 ans de pouvoir, l'AKP, le parti islamo-conservateur, n'avait essuyé une telle défaite. Le parti laïc social-démocrate (CHP) a revendiqué des victoires dans les grandes villes turques. La défaite la plus symbolique de l'AKP reste Istanbul où Ekrem Imamoglu, figure du CHP, a été largement réélu maire.  Pour Erdogan, cette défaite marque un "tournant" pour sa formation politique. S'il a reconnu que les élections ne s'étaient pas déroulées comme il le souhaitait, il a toutefois promis de "respecter la décision de la Nation".  L'échec du clan d'Erdogan peut s'expliquer par le poids de la crise économique qui a frappé les Turcs. L'inflation sur un an a atteint 67% et la forte dépréciatio...

La majorité présidentielle en route pour les Européennes

La majorité présidentielle a lancé sa campagne pour les élections européennes, ce samedi 9 mars à Lille.  A trois mois du scrutin européen du 9 juin, la quasi-totalité du gouvernement et une bonne partie des députés ont fait le déplacement à Lille pour le lancement de campagne des partis Renaissance, MoDem et Horizons.  Environ 2 000 personnes étaient réunies au Grand Palais pour écouter notamment Gérald Darmanin, François Bayrou, Edouard Philippe ou encore Gabriel Attal.  L'objectif ? Faire connaître la tête de liste du camp présidentiel, l'eurodéputée sortante Valérie Hayer, et installer le duel avec le Rassemblement national (RN), en tête des sondages.  La tête de liste a appelé à un "sursaut", afin de "déjouer le scénario du pire" et renforcer l'Europe "face à ceux qui veulent l'abattre". Valérie Hayer s'en est vivement pris au Rassemblement national qui prétendrait "défendre nos valeurs matin, midi et soir, mais à la première ...

La France inscrit le droit à l'IVG dans la Constitution

L' inscription de l'interruption volontaire de grossesse  dans la Constitution a été définitivement adoptée par le Parlement, ce lundi 4 mars à Versailles. Le Parlement s'est réuni en Congrès au château de Versailles pour entériner l'inscription du droit à l'avortement dans la Constitution. 780 parlementaires ont voté en faveur du texte, 72 ont voté contre. Le seuil minimal des 512 voix, correspondant  aux trois cinquièmes des suffrages exprimés, a été largement dépassé.  Le résultat a été dévoilé à 18 h 48 par Yaël Braun-Pivet, suivi par plusieurs minutes d'applaudissements.  Les parlementaires ont voté pour l'inscription de " la liberté garantie à la femme d'avoir recours à une interruption volontaire de grossesse " dans l'article 34 de la Loi fondamentale. La phrase fait de la France une pionnière, à rebours de plusieurs pays où le droit à l'avortement recule, aux Etats-Unis ou en Europe de l'Est.  La cérémonie de scellement aura...

L'inscription du droit à l'IVG dans la Constitution approuvée par le Sénat

Le Sénat a adopté l'inscription du droit à l'avortement dans la Constitution, ce mercredi 28 février.  Quelque 267 élus ont approuvé le texte, sans modification, tandis que 50 sénateurs ont voté contre.  Lundi 26 février, le sénateur Les Républicains (LR), Philippe Bas, avait déposé un amendement dans le but de modifier le texte qui ne comprend qu'un seul article : " La loi détermine les conditions dans lesquelles s'exerce la liberté garantie à la femme d'avoir recours à une interruption volontaire de grossesse. ".   Le sénateur souhaitait retirer le terme " garantie ".  L'amendement a finalement été rejeté à une très large majorité de 214 voix contre 104, avant que le texte ne soit adopté sans aucune modification. L'association Osez le féminisme a salué une " victoire pour les féministes et pour toutes les femmes qui veulent garantir le droit de disposer de son corps ".  Le Sénat et l'Assemblée nationale doivent se réunir e...

Jour historique en Irlande du Nord, dirigée pour la première fois par une républicaine

Michelle O'Neill, cheffe de file du Sinn Fein, a été désignée Première ministre d'Irlande du Nord, ce samedi 3 février.  Elle devient la première républicaine, favorable à l'unification de l'Irlande, à prendre la tête du gouvernement d'Irlande du Nord. Un basculement historique dans cette province britannique au passé marqué par trois décennies de conflit sanglant.  Le Sinn Fein était arrivé en tête des élections de mai 2022,un tournant inédit pour cette formation connue pour avoir été la vitrine politique de l'Armée républicaine irlandaise (IRA) .  Michelle O'Neill aura attendu deux ans avant d'être désignée Première ministre par le Parlement de Stormont à Belfast, bloqué jusqu'alors par les unionistes, très attachés à la place de l'Irlande du Nord au sein du Royaume-Uni. Les membres du Democratic Unionist Party (DUP) ont annoncé cette semaine mettre fin à leur boycott. Suite à sa désignation, Michelle O'Neill a salué " un jour historiq...

Le Mali, le Niger et le Burkina Faso quittent la Cédéao

Le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont annoncé ce dimanche 28 janvier qu'ils quittaient la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) " sans délai ".  Les dirigeants respectifs des trois Etats sahéliens , " prenant toutes leurs responsabilités devant l'histoire et répondant aux attentes, préoccupations et aspirations de leurs populations, décident en toute souveraineté du retrait sans délai du Burkina Faso, du Mali et du Niger de Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest ", selon le communiqué conjoint. Les trois pays, confrontés à des problématiques similaires d'insécurité, de djihadisme et de pauvreté, ont des relations tendues avec la Cédéao depuis que des militaires y ont pris le pouvoir par la force.  La Cédéao, organisation sous-régionale de 15 membres, essaie de pousser au retour le plus vite possible des civils au pouvoir. Elle a pris de lourdes sanctions contre le Mali  et le Niger. L'organisat...

La loi immigration largement censurée par le Conseil constitutionnel

Le Conseil constitutionnel a largement censuré la loi immigration , ce jeudi 25 janvier.  Les neuf juges du Conseil constitutionnel ont notamment censuré le durcissement de l'accès aux prestations sociales, le délit de " séjour irrégulier " pour les étrangers, l'instauration de quotas migratoires fixés par le Parlement et la " caution retour " pour les étudiants étrangers. Ils ont aussi censuré certaines mesures de restriction du regroupement familial ou restreignant le droit du sol.  La plupart des mesures irritantes pour le camp présidentiel n'ont pas été retenus par les neuf sages, saisis sur ce texte voté fin 2023 avec l'appui du Rassemblement national. 35 des 86 articles du projet de loi ont été totalement ou partiellement censurés. Le Conseil constitutionnel a estimé, pour l'essentiel d'entre eux, qu'ils n'avaient pas leur place dans ce texte de loi.  L'article sur les régularisations de travailleurs sans-papiers dans les mé...

Emmanuel Macron veut relancer la natalité en France

Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé des mesures pour relancer la natalité en France, mardi 16 janvier. Lors de sa grande conférence de presse, le président a notamment évoqué la création d'un " congé de naissance ". Ce dispositif, " mieux rémunéré et qui permettra aux deux parents d'être auprès de leur enfant pendant six mois ", remplacera l'actuel congé parental.  Le chef de l'Etat estime que le congé actuel " crée beaucoup d'angoisse parce qu'il est extrêmement peu et mal rémunéré ", et créé " des situations impossibles ".  Emmanuel Macron a également annoncé le lancement d'un " grand plan " contre l'infertilité, attendu et prévu par la loi de bioéthique de 2021. En France, 3,3 millions de Français sont concernés par l'infertilité. L'Insee avait publié le même jour un rapport sur la démographie montrant une baisse marquée de la natalité. En 2023, 678 000 bébés ont vu le jour ...

14 ministres pour un gouvernement " resserré "

14 ministres ont été nommés par l'exécutif pour le premier gouvernement de Gabriel Attal, jeudi 11 janvier.  La grande surprise de ce remaniement est la nomination de Rachida Dati en tant que ministre de la Culture. Son intégration au gouvernement Attal I constitue une véritable prise à la droite.  Bruno Le Maire (Economie), Gérald Darmanin (Intérieur), Eric Dupond-Moretti (Justice), Sébastien Lecornu (Armées) conservent leur ministère, tout comme Sylvie Retailleau à la tête du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Christophe Béchu à la Transition écologique, et Marc Fesneau du côté de l'Agriculture.  Amélie Oudéa-Castéra voit son portefeuille élargi. Endossant déjà le ministère des Sports, elle assumera également celui de l'Education nationale. Stéphane Séjourné, secrétaire national de Renaissance, se voit attribuer le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.  Catherine Vautrin, autre figure de la droite, a pris la tête du ministère du ...

Gabriel Attal nommé Premier ministre

Gabriel Attal a été nommé Premier ministre, succédant à Elisabeth Borne à Matignon, ce mardi 9 janvier. Lundi 8 janvier, Elisabeth Borne avait remis sa démission au Président de la République, Emmanuel Macron, qui l'avait acceptée.  L'ancien ministre de l'Education nationale, Gabriel Attal, 34 ans, devient le plus jeune Premier ministre de l'histoire de la Ve République. D'abord militant au Parti socialiste, il avait rejoint Emmanuel Macron dès 2016. Depuis, il a notamment été secrétaire d'Etat au Ministère de l'Education nationale, porte-parole du gouvernement Castex et ministre délégué chargé des Comptes publics. La passation de pouvoir entre Elisabeth Borne et Gabriel Attal a eu lieu à 14h30 à l'hôtel de Matignon, dans le 7e arrondissement, à Paris. Durant sa prise de parole, Elisabeth Borne a remercié la majorité, les administrations et les parlementaires. Elle rejoindra les bancs de la majorité à l'Assemblée en tant que députée du Calvados. Le n...

90 000 policiers et gendarmes mobilisés pour le Nouvel an

90 000 policiers et gendarmes seront mobilisés dans toute la France pour le réveillon du Nouvel an, ont annoncé les autorités ce vendredi 29 décembre. 6 000 membres des forces de l'ordre seront déployés à Paris. Le préfet de police de Paris a précisé que deux hélicoptères ainsi que des drones seront mobilisés pour surveiller les Champs-Elysées et autres " zones sensibles " de l'agglomération parisienne.  Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a déclaré que 5 000 militaires de l'opération Sentinelle et des dizaines de milliers de sapeurs-pompiers seront également mobilisés. Les unités de forces mobiles, comme les CRS8, permettront d'intervenir en cas de violences urbaines. Des festivités plus importantes que l'an passé sont prévues à Paris pour lancer les Jeux olympiques et paralympiques. Les autorités prévoient la venue de 700 000 à 1 million de personnes sur les Champs-Elysées. Plus d'1,5 million de personnes sont attendues au total dans la ca...

La loi immigration finalement adoptée par le Parlement

La loi immigration  a été adoptée par le Parlement, mardi 19 décembre, avec 349 voix pour et 186 contre lors du vote à l'Assemblée nationale. 59 députés de la majorité se sont abstenus ou ont voté contre l'accord trouvé par la commission mixte paritaire dans l'après-midi, signe d'une fracture au sein de la majorité. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, opposé à ce texte, a démissionné ce mercredi 20 décembre. La version finale du texte contient de très nombreuses concessions de la majorité présidentielle à la droite.  Les travailleurs sans-papiers dans les métiers en tension pourront être régularisés mais à titre exceptionnel, sous conditions.  La mesure initiée par la droite au Sénat instaurant la création de quotas de personnes admises à séjourner sur le territoire pour une durée de 3 ans a été retenue par la CMP.  Le délit de séjour irrégulier, supprimé par François Hollande, a été rétabli. Une personne en situation de binationalité condamnée pour homicide v...

Le projet de loi immigration rejeté à l'Assemblée nationale

Les députés ont adopté la motion de rejet sur le projet de loi relatif à l'immigration, avec 270 voix contre 265, ce lundi 11 décembre. Les Républicains et les députés du Rassemblement national ont voté avec la gauche pour la motion de rejet déposée par les écologistes.  Le texte sur l'immigration, visant à accélérer les procédures des demandes d'asile, faciliter les expulsions des étrangers jugés dangereux et la régularisation de travailleurs sans papiers dans des métiers en tension, ne sera pas étudié en séance publique.  Quelques minutes avant le vote, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a appelé une dernière fois au compromis. Il a assuré que  " le gouvernement est disposé à étudier minutieusement les 2 600 amendements déposés par les parlementaires ".  Ce vote ouvre la voie à trois possibilités. La première est un retour du texte au Sénat. Une commission mixte paritaire, composée de sept députés et de sept sénateurs, pourrait être convoquée pour ...

Dissolution du groupuscule d'ultra-droite Division Martel

Le groupuscule d'ultra-droite Division Martel a été dissous, a annoncé le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, ce mercredi 6 décembre. Selon le décret de dissolution, la Division Martel prône un combat par la violence " contre les antifas et les personnes issues de l'immigration ou présumées musulmanes " pour " favoriser l'avènement d'une suprématie nationaliste et xénophobe ". Ce groupuscule s'était constitué durant le second semestre 2022 et comptait une trentaine de membres.  Gérald Darmanin avait proposé la dissolution de la Division Martel, ainsi que celle de deux autres groupes d'ultra-droite, le 28 novembre.  La nuit du 25 au 26 novembre , à Romans-sur-Isère, des militants nationalistes, dont des membres de la Division Martel, s'étaient rendus dans le quartier de la Monnaie d'où sont issus plusieurs des mis en cause dans la mort de Thomas . L'adolescent de 16 ans avait été poignardé lors d'un bal à Crépol.  Com...

Un formateur de la police suspendu après avoir fait subir un simulacre de noyade à des recrues

Un formateur de la police nationale a été suspendu après avoir été filmé lors d'un exercice de simulacre de noyade dans une école de police, à Oissel, en Seine-Maritime. Une enquête administrative a été ouverte et confiée à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), ce jeudi 30 novembre.   Sur les images, un élève policier a la tête recouverte d'un t-shirt noir sur lequel un instructeur verse de l'eau. L'élève semble suffoquer. Alors qu'il tente d'arracher le t-shirt à plusieurs reprises, l'instructeur lui donne des coups de poing en le sommant de poursuivre l'exercice.  Cette scène aurait eu lieu vendredi 24 novembre à l'école de police d'Oissel, près de Rouen. 42 vidéos de cet exercice, auquel participaient 30 recrues, auraient été filmées. Sur d'autres vidéos, on peut voir les élèves être forcés de chanter " La danse des canards ". Pour la Direction générale de la police nationale (DGPN), " la vidéo correspond ...

Eric Dupond-Moretti relaxé par la Cour de justice de la République

Eric Dupond-Moretti a été relaxé par la Cour de justice de la République, ce mercredi 29 novembre.  Le ministre de la Justice était soupçonné d'avoir usé de ses fonctions pour régler des comptes avec des magistrats avec lesquels il était en conflit lorsqu'il était encore avocat.  Il a comparu pendant dix jours, du 6 au 16 novembre, pour prise illégale d'intérêts. Le procureur avait requis un an de prison avec sursis. La Cour de justice de la République a considéré dans ses motivations que " l'élément matériel " de la prise illégale d'intérêts était bien constitué mais pas l'élément intentionnel. Eric Dupond-Moretti a été déclaré " non coupable " et relaxé. Il est maintenu à son poste au sein du gouvernement. " Le garde des sceaux va pouvoir continuer à mener son action au sein de l'équipe gouvernementale ", s'est félicitée Elisabeth Borne.  Invité du " 20 heures " de France 2, Eric Dupond-Moretti a déclaré vouloir ...

L'interdiction de fumer étendue aux plages, parcs, forêts et abords de lieux publics

Les espaces sans tabac vont être généralisés à toutes les plages, parcs publics, forêts et aux abords de lieux publics, notamment les établissements scolaires.  Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau a détaillé le nouveau programme national de lutte contre le tabac du gouvernement, pour la période 2023 à 2027, lors d'une conférence de presse ce mardi 28 novembre.  Ce programme a pour objectif de " bâtir la première génération sans tabac à l'horizon 2032 " en France. Aurélien Rousseau a affirmé que " le sans tabac sera désormais la norme ".  Une augmentation progressive du prix des cigarettes, calculée sur la base de l'augmentation prévue de l'inflation, a été également confirmée. Le prix du paquet de cigarettes sera porté à un minimum de 13 euros courant 2026 avec une première étape à 12 euros en 2025.  L'interdiction des puffs, ces cigarettes électroniques jetables ou à usage unique, a été confirmée comme s'y était engagée la Première min...