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Affichage des articles associés au libellé Justice

Philippine, l'étudiante retrouvée morte dans le bois de Boulogne, a été asphyxiée

Philippine, l'étudiante retrouvée enterrée dans le bois de Boulogne à Paris, est morte asphyxiée, selon les résultats de l'autopsie pratiquée dimanche 22 septembre.  Si les médecins légistes concluent que la jeune femme a été asphyxiée, ils ne savent pas exactement comment. D'autres examens et expertises doivent être menés pour y voir plus clair sur les circonstances de son décès.  Un jeune homme a été interpellé, ce mardi 24 septembre, en Suisse, soupçonné d'être impliqué dans la mort de l'étudiante.  Philippine, étudiante de 19 ans à l'université Paris Dauphine, a été vue pour la dernière fois vendredi 20 septembre à midi, alors qu'elle déjeunait au restaurant universitaire. Elle devait ensuite rejoindre ses parents à Saint-Quentin-en-Yvelines mais n'est jamais arrivée. C'est sa sœur qui a signalé sa disparition dès le vendredi soir, à 23h, au commissariat du 16e arrondissement.  Son corps a été retrouvé, enterré dans le bois de Boulogne, lors d...

37 femmes accusent l'ex-propriétaire de Harrods, Mohamed Al-Fayed, de violences sexuelles

37 femmes accusent de violences sexuelles Mohamed Al-Fayed, décédé en 2023, ont annoncé leurs avocats, ce vendredi 20 septembre. Une action en civil va être intentée contre le célèbre grand magasin, Harrods, dont Mohamed Al-Fayed était propriétaire. Les avocats chargés de cette affaire ont tenu une conférence de presse à Londres, au lendemain de la diffusion d'une enquête de la BBC, intitulée " Al-Fayed : un prédateur chez Harrods ". Une vingtaine de femmes ont témoigné dans ce documentaire. Cinq d'entre elles accusent l'ex-propriétaire de Harrods de viols, commis à Londres ou à Paris. D'autres dénoncent des tentatives de viols et des agressions sexuelles. Les avocats des victimes présumées ont promis "d'obtenir justice" pour les 37 femmes qu'ils disent représenter à ce stade. Les plaignantes viennent de Malaisie, d'Australie, d'Italie, de Roumanie, des Etats-Unis et du Canada. L'une d'entre elles n'avait que 16 ans lorsqu...

Des avancées dans l'enquête sur la disparition de Lina

Le procureur de la République de Strasbourg, Alexandre Chevrier, a tenu une conférence de presse ce jeudi 19 septembre 2024, pour faire le point sur la disparition de Lina en 2023 .  Lina, 15 ans, a disparu le 23 septembre 2023 à Plaine, dans le Bas-Rhin. Son corps n'a toujours pas été retrouvé.  L'ADN de Lina a été relevé sur des cordes, dans une voiture. La jeune fille aurait été " ligotée ". Pour le procureur, tout tend à " démontrer l'implication de Samuel Gonin ", principal suspect et conducteur de la voiture dans laquelle on a retrouvé l'ADN de l'adolescente. Samuel Gonin, 43 ans, s'est donné la mort fin juillet 2024, peu après avoir été entendu par la police.  Dans la boîte à gants de la voiture, le sac à main de Lina a été retrouvé avec diverses affaires dont un miroir, ses écouteurs et sa coque de téléphone. Le procureur a insisté sur le fait qu'aucune trace de sang n'a été détectée à l'intérieur du véhicule.  " Des ...

Une "première victoire" devant la justice pour Anticor

L'association anticorruption Anticor a obtenu le réexamen de sa demande d'agrément par le gouvernement, ce lundi 12 août 2024.  Le tribunal administratif de Paris a estimé que le refus implicite du gouvernement "portait atteinte de manière suffisamment grave et immédiate à l'intérêt public". La justice donne 15 jours au gouvernement pour réexaminer la demande de l'association anticorruption. Anticor, une association fondée en 2002 "pour lutter contre la corruption et rétablir l'éthique en politique", avait déposé un référé après le non-renouvellement de son agrément. Par deux fois, le gouvernement n'avait pas répondu dans les temps aux demandes d'agrément de l'association, déposées dès juin 2023.  Cet agrément permettait à Anticor d'intervenir dans des procédures judiciaires, dont les dossiers politico-financiers.  L'association est impliquée dans 159 procédures, dont l'attribution du Mondial de football au Qatar et l'...

La brève apparition de Carles Puigdemont à Barcelone

Le leader indépendantiste catalan, Carles Puigdemont, est brièvement réapparu à Barcelone, avant de disparaître, ce jeudi 8 août 2024.  Carles Puigdemont est visé par un mandat d'arrêt pour avoir tenté, sans succès de faire sécession avec l'Espagne en 2017. Après 7 ans d'exil en Belgique et en France, il est apparu en Espagne à l'occasion de l'élection du président de la Catalogne, comme il l'avait annoncé 24 heures plus tôt.  Il avait déclaré à plusieurs reprises vouloir participer à ce scrutin, qu'est assuré de remporter le socialiste Salvador Illa. Celui-ci deviendrait le premier président de l'exécutif catalan depuis 2010 à ne pas être issu d'un parti nationaliste.  Lors d’un rassemblement organisé près du Parlement,  Carles Puigdemont a pris la parole devant des milliers de sympathisants.  Mais il ne s'est pas attardé à Barcelone puisqu'il a de nouveau pris la fuite, sans prendre part au vote d’investiture du nouveau président de la Cata...

L'enquête sur la mort de Nahel officiellement terminée

L'enquête concernant la mort de Nahel, tué par un policier en juin 2023, est officiellement terminée.  L'avis de fin d'information judiciaire, ouverte pour meurtre, a été rendu le 2 août 2024, selon l'avocat de la mère de Nahel, Me Nabil Boudi.  Nahel, 17 ans, a été tué d'une balle dans le thorax par un policier à Nanterre, le 27 juin 2023, lors d'un contrôle de police après une course poursuite. La mort de l'adolescent avait provoqué plusieurs nuits d'émeutes dans toute la France.  Le policier auteur du tir, Florian M., a été mis en examen pour meurtre et incarcéré pendant cinq mois avant d'être remis en liberté sous contrôle judiciaire. Il maintient sa position, affirmant qu'il était en danger face à un refus d'obtempérer de la part du jeune homme.  Les analyses des experts semblent contredire ce témoignage : le redémarrage de Nahel était de faible intensité, bien que volontaire, et le volant n'était pas tourné en direction du fonctionn...

Le PNAT ouvre une enquête après l'intervention du FLNC lors d'un rassemblement indépendantiste corse

Une enquête a été ouverte par le parquet antiterroriste, ce mardi 6 août 2024, après l'irruption d'un groupe armé lors d'un rassemblement indépendantiste.  Dimanche 4 août, à Corte, trois hommes cagoulés et armés de pistolets sont intervenus aux Journées internationales de Corte. Quelque 400 militants ainsi que des représentants kanaks de Nouvelle-Calédonie étaient venus assister à cet événement annuel organisé par des mouvements nationalistes. Les intrus, qui se revendiquent du mouvement Front de libération national de la Corse (FLNC), ont pris la parole sur scène. L'un des trois hommes a lu à la tribune un texte de quatre pages, la voix modifiée en direct par un système audio. Il est notamment revenu sur la montée de l'extrême droite en France lors des dernières élections.  " Chez nous, aujourd'hui comme hier, l'extrême droite, qu'elle soit française ou qu'elle se drape dans le drapeau à tête de Maure, reste une gangrène pour le peuple corse ...

11-septembre : Khalid Cheikh Mohammed accepte un accord pour échapper à la peine de mort

Khalid Cheikh Mohammed, l'un des responsables du 11-septembre, a accepté un accord de peine négociée, selon les annonces des autorités américaines, mercredi 31 juillet 2024. Considéré comme le cerveau des attentats du 11-septembre, le Pakistanais est détenu dans la base américaine de Guantanamo. L'accord qu'il a passé lui permet d'éviter un procès où il encourrait la peine de mort. Il a accepté de plaider coupable des accusations de complot et de meurtre  en échange d'une sentence de réclusion criminelle à perpétuité.   Deux de ses coaccusés, Walid bin Attash et Mustafa al-Hawsawi, sont également concernés par cet accord. Emprisonnés depuis 18 ans à Guantanamo, sur l'île de Cuba, ils sont accusés de terrorisme et du meurtre de près de 3 000 personnes dans les attentats du 11 septembre 2001.  Ces hommes n'ont jamais été jugés, la procédure devant les amener en procès s'étant enlisée autour de la question de savoir si les tortures qu'ils ont subies dan...

L'autopsie de Célya, 6 ans, confirme un "important fracas crânien"

L'autopsie de la petite Célya confirme un "important fracas crânien", "plusieurs coups" et des "lésions post mortem", selon les résultats dévoilés vendredi 19 juillet 2024.  La fillette de 6 ans avait été enlevée le vendredi 12 juillet par le compagnon de sa mère, à Saint-Martin de l'If (Seine-Maritime). Malgré une alerte enlèvement, Célya avait été retrouvée morte dans la nuit de vendredi à samedi.  Selon les résultats définitifs, Célya a été victime de coups mortels portés au crâne "avec un objet contendant". L'examen a également révélé que les autres lésions présentes sur le corps de la fillette ont été réalisées après sa mort.  Au lendemain de la découverte du corps de l'enfant, le 13 juillet, le procureur de la République de Rouen avait évoqué "des faits d'une extrême violence".  Le principal suspect, le compagnon de la mère de Célya, avait été interpellé tôt le samedi 13 juillet au matin. Il avait été placé en ...

L'homme agressé aux Fêtes de Bayonne est décédé

L'homme de 58 ans, victime d'une agression en marge des Fêtes de Bayonne le 11 juillet, est décédé mardi 16 juillet 2024, au soir.  La victime avait reçu des coups au visage de la part d'un homme de 39 ans, à l'issue d'une altercation, dont l'enquête s'attache à déterminer la nature. Pris en charge par les secours, l'homme était hospitalisé depuis au centre hospitalier de la Côte basque, à Bayonne.  Selon Sud Ouest , le quinquagénaire s'appelait Eric Courdy, habitait Ondres et travaillait pour l'entreprise Safran à Tarnos.  L'auteur présumé avait été interpellé quelques heures après les faits. Il avait été mis en examen pour tentative d'homicide et placé en détention provisoire. Les investigations se poursuivent pour meurtre.  Le mis en cause a un "profil manifestement violent, avec de nombreux antécédents judiciaires". Il est connu pour des faits de violences ayant entraîné un infirmité permanente, pour lesquels il avait été co...

Pas de discrimination envers les élèves du lycée juif Yabné, selon le Ministère de l'Education

Une enquête administrative conclut que des élèves juifs n'ont pas subi de discrimination lors du Grand Oral du bac 2024, jeudi 11 juillet.  La ministre de l'Education, Nicole Belloubet avait ordonné jeudi matin l'ouverture d'une enquête suite aux accusations de discrimination dont s'estimaient victimes des élèves du lycée juif Yabné, dans le 13e arrondissement de Paris.  Les conclusions de l'enquête administrative n'ont pas tardé : "Rien ne permet de retenir une discrimination réelle ou supposée à l'égard des élèves du lycée Yabné", conclut le rapport d'enquête. Quinze lycéens de cet établissement juif privé sous contrat avaient indiqué avoir été "saqués" par deux jurys du lycée Charles-de-Foucauld. Les notations des jurys incriminés ont été examinées en détail par les enquêteurs, ne révélant aucune "distorsion de notation".  L'avocat de l'école Yabné, Maître Patrick Klugman a salué l'enquête "dans son p...

Trois femmes tuées à l'arbalète au nord de Londres

Les autorités britanniques ont arrêté le suspect d'un triple meurtre à l'arbalète, à Bushey, au nord de Londres, mercredi 10 juillet. Trois femmes, âgées de 25, 28 et 61 ans, ont été tuées. Elles auraient été abattues à l'arbalète. Il s'agirait de l'épouse et de deux des filles de John Hunt, commentateur de courses hippiques à la BBC.  Les victimes ont été retrouvées "très grièvement blessées" à leur domicile par la police. Elles sont mortes peu après l'arrivée des secours sur place.  La police recherchait un suspect âgé de 26 ans, Kyle Clifford, un ancien agent de sécurité. D'importantes ressources policières ont été déployées pour retrouver le suspect. L'homme a été retrouvé ce mercredi 10 juillet par la police dans le nord de Londres à l'issue d'une journée de cavale. Selon Jon Simpson, le chef de la police du Hertfordshire, les enquêteurs estiment que l'attaque était "ciblée" contre les victimes. La ministre de l'I...

L'activiste Kémi Seba déchu de sa nationalité française

Le militant panafricaniste béninois Kémi Seba a été déchu de sa nationalité française, par un décret paru ce mardi 9 juillet au Journal officiel.  Kémi Seba, de son vrai nom Stellio Gilles Robert Capo Chichi, est connu pour ses virulentes prises de positions anti-occidentales.  L'ancien leader de la Tribu Ka, groupuscule qui revendiquait son antisémitisme, avait été plusieurs fois condamné en France pour incitation à la haine raciale. Il est aujourd'hui à la tête du groupe Urgences panafricanistes.  En mars dernier, la préfecture de l'Essonne avait essayé d'interdire une de ses conférences. Par la suite, Kémi Seba avait publié en ligne une vidéo où il brûlait un document qu'il disait être son passeport français.  Français de naissance, le militant est né en 1981 à Strasbourg de deux parents français et possède également la nationalité béninoise. Les autorités françaises le considèrent comme un agent de l'étranger. Kémi Seba a quitté la France pour le Sénégal en ...

Six ans après la mort de Naomi Musenga, l'opératrice du Samu condamnée à 1 an de prison avec sursis

L'opératrice du Samu qui s'était moquée de l'appel de détresse de Naomi Musenga, fin 2017, a été condamnée à 12 mois de prison avec sursis ce jeudi 4 juillet. Naomi Musenga, jeune femme de 22 ans, est morte à l'hôpital peu après son appel passé au Samu. Elle se plaignait de douleurs abdominales.  L'opératrice qui l'avait raillée a été reconnue coupable de non-assistance à personne en danger par le tribunal correctionnel de Strasbourg. Elle n'avait quasiment posé aucune question à la jeune femme en détresse qui peinait à s'exprimer, raccrochant sans transmettre son appel à un médecin. Corinne M. a tenté d'expliquer ses manquements par son épuisement moral et sa charge de travail. Elle a présenté ses excuses à la famille de Naomi Musenga. Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du parquet, qui avait demandé dix mois avec sursis. Corinne M., l'opératrice âgée de 60 ans, est également condamnée à verser 15 000 euros à la famille de la victime. ...

La mise en examen du réalisateur Benoît Jacquot requise pour viol

Le parquet de Paris requiert, ce mercredi 3 juillet, la mise en examen et le placement sous contrôle judiciaire du réalisateur Benoît Jacquot, accusé de violences sexuelles par trois actrices. Le cinéaste de 77 ans avait été placé en garde à vue lundi. Jacques Doillon, visé par la même enquête pour d'autres faits de même nature, avait lui aussi été placé en garde à vue, avant d'être relâché pour raisons médicales.  La comédienne Julia Roy accuse Benoît Jacquot de viol et d'agression sexuelle entre 2013 et 2018. Isild La Besco lui reproche les faits de viol sur mineur par personne ayant autorité et viol par concubin, entre 1998 et 2000, et en 2007.  En février, une enquête avait été ouverte contre les deux réalisateurs par le parquet de Paris pour "viol sur mineur de 15 ans par personne ayant autorité", suite à la plainte de Judith Godrèche. L'actrice avait affirmé avoir vécu une relation d'"emprise" et de "perversion" avec Benoît Jacquo...

Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks, bientôt libéré ?

Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks poursuivi pour espionnage, pourrait être libéré mercredi 26 juin. Cela signerait la fin d'une saga judiciaire de près de 14 ans.  L'Australien a négocié un accord de plaider-coupable avec la justice américaine. Il est désormais poursuivi pour un seul chef d'accusation : "complot pour obtenir et divulguer des informations relevant de la défense nationale".  Lors d'une audience prévue dans la nuit de mardi à mercredi, Julian Assange devrait plaider coupable et être condamné à 62 mois d'emprisonnement, qu'il a déjà purgés. Il risquait pourtant jusqu'à 175 ans de prison.  En vertu de cet accord, il doit pouvoir regagner libre l'Australie et ses proches. Il a quitté le Royaume-Uni à bord d'un avion, lundi 24 juin.  Il était incarcéré depuis 2019 dans une prison de haute sécurité proche de Londres, après avoir passé sept ans dans l'ambassade d'Equateur à Londres, pour éviter son extradition. Julia...

Des cercueils recouverts du drapeau français déposés au pied de la tour Eiffel

Cinq cercueils ont été découverts au pied de la tour Eiffel, samedi 1er juin 2024.  Tous étaient recouverts d'un drapeau français avec une banderole "Soldats français morts en Ukraine". Les cercueils en bois contenaient du plâtre.  Trois suspects, nés en Bulgarie, Allemagne et Ukraine, ont été interpellés et placés en garde à vue pour "violence avec préméditation". Le chauffeur de la camionnette utilisée pour le transport a déclaré avoir été "payé 40 euros" pour déposer deux inconnus et les cinq cercueils. Une enquête est en cours afin de déterminer une "éventuelle ingérence étrangère". Cet incident rappelle deux récentes affaires où existent les mêmes soupçons de manipulation étrangère. Dans la nuit du 13 au 14 mai, des mains rouges avaient été taguées sur le mémorial de la Shoah à Paris. Au mois d'octobre 2023, des étoiles de David avaient été découvertes sur plusieurs façades d'immeubles en région parisienne.  Dans les deux situati...

Après le verdict, Donald Trump riposte

Donald Trump riposte après avoir été reconnu coupable des 34 chefs d'accusation qui pesaient contre lui, jeudi 30 mai 2024. Un jury de New York l'a reconnu coupable d'avoir falsifié des documents dans le but de dissimuler des paiements destinés à acheter le silence de Stormy Daniels, avant l'élection de 2016.  L'ancienne actrice de films X a affirmé avoir eu une relation sexuelle avec Donald Trump en 2006, suite à laquelle elle a été payée 130 000 dollars en échange de son silence.  A la suite de ce verdict, l'ancien président américain a dénoncé un procès truqué et s'est estimé bâillonné par la justice américaine. "Nous allons faire appel de cette arnaque. Vous ne nous avez pas permis d'avoir des témoins, vous ne nous avez pas permis de parler", a déclaré le candidat républicain.  Donald Trump s'en est également pris à Joe Biden, le qualifiant lui et "sa bande" de "malades" et de "fascistes".  Fidèle à son hab...

La dirigeante d'un géant immobilier condamnée à mort au Vietnam

La dirigeante d'un géant immobilier, Truong My Lan, a été condamnée à mort au Vietnam pour fraude massive, ce jeudi 11 avril. Il s'agit du plus grand scandale financier qu'ait connu le Vietnam. Le parquet a affirmé que le total des dommages causés par l'escroquerie s'élevait à 25 milliards d'euros, soit l'équivalent de 6% du PIB du pays en 2023.  Les actions de Truong My Lan, accusée d'avoir escroqué des fonds de la Saigon Commercial Bank (SCB) pendant une décennie, "ont érodé la confiance des gens dans la direction du parti [communiste] et de l'Etat", a estimé le jury.  La femme d'affaires, qui nie son rôle dans l'affaire, a été reconnue coupable de corruption, de détournement de fonds et de violation de la loi bancaire.  Elle a été jugée durant un mois aux côtés de 85 autres prévenus pour répondre aux interrogations et à la colère de milliers d'épargnants lésés. La liste des accusés comprenait des anciens fonctionnaires de la ...

Trois personnes pensent avoir vu Xavier Dupont de Ligonnès dans le Doubs

Un signalement a été effectué dans le cadre de l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès à Montferrand-le-Château (Doubs) le 12 mars. Un homme sans papiers lui ressemblant y aurait été vu. Deux autres personnes, qui ont également croisé le même homme, ont jugé "possible" que cet homme soit "XDDL".  Xavier Dupont de Ligonnès est recherché depuis 13 ans pour le meurtre de sa famille.  La femme qui a fait le signalement pense avoir pu le croiser lors d'une veillée de prières le 9 mars dernier au sein de la communauté des sœurs dominicaines de Béthanie, à Montferrand-le-Château.  "Une des membres est venue accompagné d'un dénommé Jean qui a raconté marcher sur les routes, sans documents d'identité", a précisé le procureur de la République, Etienne Manteaux. L'homme est reparti après avoir été hébergé deux nuits.  Parmi les sept participantes, quatre ne pensent pas qu'il s'agisse de lui, les trois autres jugent cela possible. Pour lever le...