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Le géant de l'intelligence artificielle, OpenAI, a dévoilé son nouveau logiciel "Voice Engine", vendredi 29 mars.  Après ChatGPT, OpenAI a développé un outil permettant de cloner une voix à partir d'un échantillon audio de 15 secondes et de lui faire interpréter un texte.  "Voice Engine" pourra servir dans les domaines de l'assistance à la lecture, de la traduction en temps réel ou de l'accessibilité, pour les personnes ne pouvant pas parler.  Les premiers résultats publiés par OpenAI sont impressionnants, puisqu'on ne distingue pas de différences entre l'extrait d'origine et la voix générée.  La sortie de ce nouveau logiciel soulève de nombreuses questions en matière de sécurité et d'éthique. OpenAI a annoncé que l'utilisation de "Voice Engine" sera restreinte, pour empêcher des fraudes ou des crimes comme l'usurpation d'identité.  La société assure adopter "une approche prudente et informée" avant une

La Chine, les Etats-Unis, l'Union européenne et une vingtaine de pays ont signé la déclaration de Bletchley au premier sommet de l'intelligence artificielle, ce mercredi 1 novembre au Royaume-Uni.  Cette déclaration est en faveur d'un développement " sûr " de l'IA, une technologie à l'essor fulgurant. L'UE et les 28 pays réunis à Bletchley Park se sont mis d'accord sur " le besoin urgent de comprendre et gérer collectivement les risques potentiels " de l'intelligence artificielle. Ils comptent sur " un nouvel effort mondial, visant à garantir que l'IA est développée et déployée de manière sûre et responsable ". Le Royaume-Uni, à l'initiative de ce sommet, veut se poser en moteur d'une coopération internationale sur l'IA. Le milliardaire américain Elon Musk a souligné la nécessité d'un " arbitre " pour l'intelligence artificielle, qui est, selon lui, l'une des " plus grandes menaces