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L'hydroxychloroquine serait responsable de près de 17 000 morts, selon une étude publiée mardi 2 janvier. 16 990 décès seraient imputables à l'hydroxychloroquine au premier trimestre 2020 dans six pays : la France, la Belgique, l'Italie, l'Espagne, la Turquie et les Etats-Unis. Selon cette étude publiée dans la revue " Biomedicine & Pharmacotheray ", 199 morts ont été comptabilisés en France, 12 739 aux Etats-Unis.  Au début de la pandémie du Covid-19 en 2020, la question de l'efficacité de l'hydroxychloroquine sur les malades du coronavirus avait enflammé les débats. Le Pr. Didier Raoult avait défendu les vertus de ce médicament, habituellement utilisé pour traiter le paludisme. Il s'agissait pour lui de la " molécule miracle ".  Son utilisation contre le Covid 19 avait finalement été interdite par la France, et déconseillée en Europe et par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).  La surmortalité liée à l'utilisation d

Le sous-variant d'Omicron, surnommé Eris, est à présent majoritaire en France. Ce nouveau variant du Covid-19 est plus contagieux, mais pas plus dangereux.  Les rapports des autorités de santé notent une augmentation de contaminations au Covid-19 ainsi que des passages pour suspicions d'infection au virus en hausse (+ 25 % chez les 15-74 ans). Les pharmacies ont fait face à une forte demande de tests, qui se sont souvent avérés positifs, après les fêtes de Bayonne qui s'étaient tenues du 26 au 30 juillet. L'infectiologue Benjamin Davido s'attend un automne " relativement difficile " avec une nouvelle vague de contaminations. Pour l'OMS, les risques pour la santé mondiale sont faibles. Les symptômes restent les mêmes : fièvre, maux de tête, toux et courbatures. Lily REY Sources : Le Point, CNews, RFI, TF1