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Affichage des articles associés au libellé Emmanuel Macron

L'envoi de soldats occidentaux en Ukraine pas exclu, selon Emmanuel Macron

L'envoi de troupes occidentales au sol en Ukraine ne doit pas " être exclu " à l'avenir, a affirmé le président de la République Emmanuel Macron, lundi 26 février. A l'occasion de la conférence internationale de soutien à l'Ukraine qui s'est tenue à l'Elysée, le président français a déclaré : " Il n'y a pas de consensus aujourd'hui pour envoyer de manière officielle, assumée et endossée, des troupes au sol. Mais rien ne doit être exclu, nous ferons tout ce qu'il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre ".  Le Kremlin a averti ce mardi 27 février que l'envoi par les pays européens membres de l'OTAN de troupes en Ukraine conduirait à un conflit " inéluctable " entre la Russie et l'organisation transatlantique. Si le chef de l'Etat français dit assumer " une ambiguïté stratégique ", le Royaume-Uni, la Pologne, l'Espagne, l'Italie et l'Allemagne, notamment, se sont désol

Emmanuel Macron veut relancer la natalité en France

Le président de la République Emmanuel Macron a annoncé des mesures pour relancer la natalité en France, mardi 16 janvier. Lors de sa grande conférence de presse, le président a notamment évoqué la création d'un " congé de naissance ". Ce dispositif, " mieux rémunéré et qui permettra aux deux parents d'être auprès de leur enfant pendant six mois ", remplacera l'actuel congé parental.  Le chef de l'Etat estime que le congé actuel " crée beaucoup d'angoisse parce qu'il est extrêmement peu et mal rémunéré ", et créé " des situations impossibles ".  Emmanuel Macron a également annoncé le lancement d'un " grand plan " contre l'infertilité, attendu et prévu par la loi de bioéthique de 2021. En France, 3,3 millions de Français sont concernés par l'infertilité. L'Insee avait publié le même jour un rapport sur la démographie montrant une baisse marquée de la natalité. En 2023, 678 000 bébés ont vu le jour

14 ministres pour un gouvernement " resserré "

14 ministres ont été nommés par l'exécutif pour le premier gouvernement de Gabriel Attal, jeudi 11 janvier.  La grande surprise de ce remaniement est la nomination de Rachida Dati en tant que ministre de la Culture. Son intégration au gouvernement Attal I constitue une véritable prise à la droite.  Bruno Le Maire (Economie), Gérald Darmanin (Intérieur), Eric Dupond-Moretti (Justice), Sébastien Lecornu (Armées) conservent leur ministère, tout comme Sylvie Retailleau à la tête du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Christophe Béchu à la Transition écologique, et Marc Fesneau du côté de l'Agriculture.  Amélie Oudéa-Castéra voit son portefeuille élargi. Endossant déjà le ministère des Sports, elle assumera également celui de l'Education nationale. Stéphane Séjourné, secrétaire national de Renaissance, se voit attribuer le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.  Catherine Vautrin, autre figure de la droite, a pris la tête du ministère du

Gabriel Attal nommé Premier ministre

Gabriel Attal a été nommé Premier ministre, succédant à Elisabeth Borne à Matignon, ce mardi 9 janvier. Lundi 8 janvier, Elisabeth Borne avait remis sa démission au Président de la République, Emmanuel Macron, qui l'avait acceptée.  L'ancien ministre de l'Education nationale, Gabriel Attal, 34 ans, devient le plus jeune Premier ministre de l'histoire de la Ve République. D'abord militant au Parti socialiste, il avait rejoint Emmanuel Macron dès 2016. Depuis, il a notamment été secrétaire d'Etat au Ministère de l'Education nationale, porte-parole du gouvernement Castex et ministre délégué chargé des Comptes publics. La passation de pouvoir entre Elisabeth Borne et Gabriel Attal a eu lieu à 14h30 à l'hôtel de Matignon, dans le 7e arrondissement, à Paris. Durant sa prise de parole, Elisabeth Borne a remercié la majorité, les administrations et les parlementaires. Elle rejoindra les bancs de la majorité à l'Assemblée en tant que députée du Calvados. Le n

La loi immigration finalement adoptée par le Parlement

La loi immigration  a été adoptée par le Parlement, mardi 19 décembre, avec 349 voix pour et 186 contre lors du vote à l'Assemblée nationale. 59 députés de la majorité se sont abstenus ou ont voté contre l'accord trouvé par la commission mixte paritaire dans l'après-midi, signe d'une fracture au sein de la majorité. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, opposé à ce texte, a démissionné ce mercredi 20 décembre. La version finale du texte contient de très nombreuses concessions de la majorité présidentielle à la droite.  Les travailleurs sans-papiers dans les métiers en tension pourront être régularisés mais à titre exceptionnel, sous conditions.  La mesure initiée par la droite au Sénat instaurant la création de quotas de personnes admises à séjourner sur le territoire pour une durée de 3 ans a été retenue par la CMP.  Le délit de séjour irrégulier, supprimé par François Hollande, a été rétabli. Une personne en situation de binationalité condamnée pour homicide volo

Le projet de loi immigration rejeté à l'Assemblée nationale

Les députés ont adopté la motion de rejet sur le projet de loi relatif à l'immigration, avec 270 voix contre 265, ce lundi 11 décembre. Les Républicains et les députés du Rassemblement national ont voté avec la gauche pour la motion de rejet déposée par les écologistes.  Le texte sur l'immigration, visant à accélérer les procédures des demandes d'asile, faciliter les expulsions des étrangers jugés dangereux et la régularisation de travailleurs sans papiers dans des métiers en tension, ne sera pas étudié en séance publique.  Quelques minutes avant le vote, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a appelé une dernière fois au compromis. Il a assuré que  " le gouvernement est disposé à étudier minutieusement les 2 600 amendements déposés par les parlementaires ".  Ce vote ouvre la voie à trois possibilités. La première est un retour du texte au Sénat. Une commission mixte paritaire, composée de sept députés et de sept sénateurs, pourrait être convoquée pour

Le FLNC revendique la série d'explosions survenue en Corse

Le Front de libération nationale de la Corse a revendiqué une série d'explosions visant des habitations en Corse, dans la nuit du 8 au 9 octobre. Une vingtaine d'explosions ciblant des habitations est survenue en Corse dans la nuit de dimanche à lundi, entre 22h et 2h. Pour l'heure, aucune victime n'est à déplorer.  Le FLNC a revendiqué ces attaques dans un communiqué envoyé à Corse-Matin, adressant un message à l'Etat et aux élus de Corse engagés dans le processus politique qui a pour objectif de tracer les contours d'une " autonomie à la Corse ". " Nous n'avons pas de destin commun avec la France ", a déclaré le Front de libération nationale de la Corse (FLNC), dans son courrier. Cette nouvelle " nuit bleue ", désignant une série d'attentats à l'explosif, simultanés ou se suivant, intervient dix jours après la visite d'Emmanuel Macron. Les explosions auraient été commises par l'utilisation d'explosifs, de b

Alexandre Benalla condamné à 3 ans de prison dont un an ferme en appel

La peine de 3 ans de prison dont 1 an ferme a été confirmée en appel pour Alexandre Benalla, ce vendredi 29 septembre. L'ancien chargé de mission de l'Elysée a été condamné en appel à trois ans de prison dont un an ferme aménageable. La même peine avait été prononcée en première instance. Une peine de 18 mois de prison avec sursis avait été requise en appel. Il a été reconnu coupable d'avoir frauduleusement utilisé ses passeports diplomatiques après son licenciement, fabriqué un faux document pour obtenir un passeport de service et porté illégalement une arme en 2017. Il était jugé au côté de son ami Vincent Crase, ancien employé de LREM. La peine de ce dernier a elle aussi été confirmée : deux ans de prison avec sursis. Les images des deux hommes place de la Contrescarpe à Paris, filmées par le journaliste Taha Bouhafs, avaient déclenché une tempête politique en juillet 2018. Le Monde avait identifié, sous les casques des forces de l'ordre, ce proche du président. Ils

Emmanuel Macron propose "une autonomie" à la Corse

Emmanuel Macron a proposé une " autonomie à la Corse " lors de sa visite sur l'île, ce jeudi 28 septembre. Devant les élus de l'Assemblée corse, à Ajaccio, le chef de l'Etat a ouvert la voie aux demandes des élus nationalistes. Il propose l'inscription de la Corse dans la Constitution, " ni contre l'Etat ni sans l'Etat ". Il s'agit d'un pas décisif vers l'autonomie.  Le président de la République est officiellement en visite pour célébrer le 80e anniversaire de la Libération de l'île. Il clôture dix-huit mois de négociations sur la question de l'autonomie. Ces discussions avaient été relancées en mars 2022, dans un contexte de crise après l'assassinat du militant indépendantiste Yvan Colonna. Le président de la République a également promis des avancées sur le bilinguisme et la question cruciale du foncier. En juillet, les élus de l'Assemblée corse avaient voté un texte qui va servir de base de travail avec l'E

Le pape François a célébré une messe géante au stade Vélodrome

La visite du pape François s'est clôturée avec une messe géante célébrée au stade Vélodrome à Marseille, ce samedi 23 septembre. Au deuxième et dernier jour de sa visite à Marseille, le pape s'est rendu au Palais du Pharo pour clôturer les " Rencontres méditerranéennes ". Il s'est entretenu durant une demi-heure avec le président de la République Emmanuel Macron. Ensemble, ils ont abordé la situation internationale et le sujet de l'immigration. Il a poursuivi sa journée par une déambulation en " papamobile " sur l'avenue du Prado où il était attendu par environ 100 000 personnes. Le souverain pontife a ensuite rejoint le stade Vélodrome à 16h pour y célébrer une messe devant près de 60 000 personnes. Le couple présidentiel était présent.  Le Saint-Père a conclu la messe avec ces mots : "Chers frères et sœurs je porterai dans mon cœur les rencontres de ces journées, que Notre-Dame-de-la-Garde veille sur cette ville, mosaïque d'espérance&q

Emmanuel Macron assistera à la messe célébrée par le pape François à Marseille

Emmanuel Macron assistera à la messe célébrée par le pape François au stade Vélodrome de Marseille, samedi 23 septembre. En déplacement à la Cité phocéenne, le pape François rencontrera le président de la République lors de la clôture des Rencontres méditerranéennes sur les migrations. Ils s'entretiendront en tête à tête sur les sujets de l'Ukraine, du Sahel, d'Haïti, du Liban ou encore de l'environnement. A 16h, le pape célébrera une messe au stade Vélodrome devant plusieurs dizaines de milliers de croyants. Ce jeudi 14 septembre, l'Elysée a confirmé la présence d'Emmanuel Macron et de son épouse Brigitte Macron. Le président " assistera, mais ne participera pas à l'eucharistie ", c'est-à-dire qu'il ne communiera pas. Cette annonce a suscité beaucoup de réactions négatives de la part d'élus de gauche. Ceux-ci estiment que sa présence à une cérémonie religieuse représente une atteinte aux " principes fondateurs " de la laïcité

Au moins un professeur absent dans près de la moitié des collèges et lycées

Il manque au moins un enseignant dans près de la moitié des collèges et lycées en France métropolitaine, selon le sondage du syndicat Snes-FSU, publié ce lundi 11 septembre. Le premier syndicat du second degré a réalisé une étude dans 500 établissements. Il en ressort un sondage révélé par France info ce lundi. Il manque en moyenne " au moins un enseignant dans 48 % des collèges et des lycées " en métropole.  Les académies de Créteil, de Versailles, et d'Orléans-Tours sont les plus touchées. Les matières les plus concernées sont l'anglais, les mathématiques et les sciences de l'ingénieur. Fin août, Emmanuel Macron faisait la promesse d' " un professeur devant chaque classe ". Une semaine après la rentrée, les parents d'élèves et les syndicats dénoncent cette promesse non tenue. Les élèves ont des trous dans leurs emplois du temps et vont prendre du retard dans certaines matières.  L'Education nationale n'a fourni aucun chiffre sur l'a

La France assouplit l'accès à ses archives sur la Guerre d'Algérie

L'accès aux archives concernant la Guerre d'Algérie va être assoupli, selon un arrêté publié le 25 août au Journal officiel. Les archives étaient déjà ouvertes depuis 2021. Mais dans les faits, leur consultation restait très difficile.  Grâce au nouvel arrêté, les historiens, les chercheurs et les familles peuvent consulter les dossiers impliquant des mineurs, sur la période du 1er novembre 1954 au 31 décembre 1966, plus facilement. Cet arrêté a été signé par la Première ministre, le ministre de l'Intérieur, le Garde des sceaux, la ministre des Affaires étrangères, le ministre des Armées et la ministre de la Culture.  Il s'agissait d'un geste réclamé par les historiens et les familles, qui demandent toutefois un plus large accès aux archives car de nombreux dossiers restent classifiés.  Cette décision s'inscrit dans la politique d'apaisement d'Emmanuel Macron décidée lors de son premier mandat, suite aux recommandations du rapport de Benjamin Stora sur l

Emmanuel Macron va recevoir les responsables des forces politiques la semaine prochaine

Emmanuel Macron prévoit de recevoir les responsables de toutes les forces politiques représentées au Parlement, la semaine prochaine.  Ce mercredi 23 août, le président de la République a esquissé les contours de son " initiative politique d'ampleur " avec l'intention de débloquer la situation parlementaire à travers des textes " transpartisans ", voire des référendums. Sans majorité absolue à l'Assemblée, le chef de l'Etat entend discuter avec l'ensemble des forces politiques. Il s'agit de la première inflexion à " l'arc républicain ", qui excluait le Rassemblement national et La France insoumise.  L'Elysée avait indiqué cet été que l'objectif de ces rencontres serait de rechercher, au cas par cas, des majorités sur des thèmes tels que l'immigration, le travail, l'écologie, l'ordre ou encore les services publics. En six ans de présidence, Emmanuel Macron a plusieurs fois évoqué l'hypothèse de référendums