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Pedro Sanchez a été reconduit à la tête du gouvernement espagnol pour un mandat de quatre ans, jeudi 16 novembre. Le Premier ministre espagnol a obtenu la confiance de la majorité absolue de 179 députés. Un résultat notamment obtenu grâce au soutien crucial du parti de l'indépendantiste Carles Puigdemont, en échange d'une mesure d'amnistie controversée. Au pouvoir depuis 2018, le socialiste a été reconduit après deux jours de débats tendus. Ce vote de confiance met un terme à presque quatre mois de blocage, depuis les élections législatives du 23 juillet.  Après être arrivé deuxième au scrutin de juillet, le Premier ministre a dû négocier le soutien à sa reconduction de plusieurs formations régionalistes. En particulier, il a dû convaincre le parti indépendantiste de Carles Puigdemont. Le leader de la tentative de sécession de la Catalogne en 2017 avait dû fuir en Belgique il y a six ans pour échapper aux poursuites judiciaires.  En échange des voix des sept députés du part

La candidate du Parti socialiste Francina Armengoln a été élue présidente du Congrès des députés ce jeudi 17 août. Elle a remporté l'élection avec 178 voix, soit deux de plus que la majorité absolue. Cette victoire de la candidate de Pedro Sanchez donne au Premier ministre espagnol sortant de bonnes chances d'être reconduit à la tête du gouvernement dans les prochains jours, sans nouvelles élections. Ce résultat permet de confirmer les rumeurs d'accord entre le parti socialiste espagnol et Junts per Catalunya, le parti dirigé par le leader indépendantiste Carles Puigdemont, exilé en Belgique et recherché par la justice espagnole depuis 2017. En effet, la nouvelle présidente du Congrès des députés a pu compter sur la voix des sept députés du parti représentant le courant le plus dur du nationalisme catalan.  Le chef du gouvernement Pedro Sanchez avait tendu la main aux indépendantistes catalans en proposant la candidature de Francina Armengoln, ancienne présidente de l'a