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Affichage des articles associés au libellé Israël

Yaël Braun-Pivet rejette la demande de levée d'immunité de Meyer Habib

La présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a rejeté une demande de levée de l’immunité parlementaire du député Meyer Habib des Républicains (LR), ce samedi 23 décembre. Cette demande avait été formulée par 39 députés de gauche qui l’accusaient d’ " apologie de crimes de guerre " israéliens à Gaza. Dans sa réponse, Yaël Braun-Pivet écrit que " les propos tenus par un parlementaire dans l’hémicycle de l’Assemblée sont couverts, conformément à l’article 26 de la Constitution, par le principe d’irresponsabilité, lequel présente un caractère absolu et qu’aucune procédure ne permet de “lever” ". Des députés avaient mis en cause une phrase prononcée par Meyer Habib, élu de la 8e circonscription des Français établis hors de France, lors de la séance des questions au gouvernement mardi dernier.  " Alors que la ministre (Catherine Colonna) était invitée à réagir à la mort d'un agent du Quai d'Orsay suite à des bombardements israéliens sur un bâtime

L'appel de Catherine Colonna pour une trêve "immédiate et durable" à Gaza

La cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, est arrivée en Israël dimanche 17 décembre. A l'issue d'un entretien avec son homologue israélien, la ministre a appelé à " une nouvelle trêve humanitaire immédiate et durable ".  En parallèle, elle a réitéré la solidarité de la France avec les victimes de l'attaque du 7 octobre.  Samedi 16 décembre, la France avait condamné un bombardement israélien dans la bande de Gaza, ayant causé la mort d'un de ses agents. Paris a exigé que " toute la lumière soit faite dans les plus brefs délais ".  Catherine Colonna a rappelé que trois Français sont toujours " retenus, disparus ou otages dans la bande de Gaza ". Vendredi, l'armée israélienne avait annoncé avoir récupéré le corps de l'otage franco-israélien Elya Toledano, kidnappé le 7 octobre par le Hamas. La ministre s'est ensuite rendue en Cisjordanie occupée pour s'entretenir avec son homologue de l'Autorité palestinienn

Trois otages israéliens tués accidentellement par Israël

L'armée israélienne a annoncé samedi 16 décembre avoir tué " par erreur " trois otages israéliens du Hamas. Yotam Haïm, 28 ans, Samer al-Talalqa, 25 ans et Alon Lulu Shamriz, 26 ans, ont été tués au cours d'opérations dans un quartier de la ville de Gaza. Ils faisaient tous les trois partie des quelque 250 personnes prises en otage lors de l'attaque du 7 octobre par le Hamas.  D'après les premiers éléments de l'enquête, les trois otages sont apparus dans " une zone de combat avec de nombreux terroristes " dans le quartier de Choujaiya, l'un brandissant " un drapeau blanc de fortune ".  Ils ont été accidentellement identifiés comme une " menace ". Les soldats israéliens ont ouvert le feu, les prenant pour des " terroristes ". Peu après cette annonce, des familles d'otages et des sympathisants ont défilé avec des photos de captifs devant le ministère israélien de la Défense à Tel-Aviv, réclamant un accord imméd

Huit membres présumés du Hamas arrêtés en Europe

Huit personnes, suspectées d'être liées au Hamas, ont été arrêtées lors de deux coups de filet, en Allemagne, au Danemark et aux Pays-Bas. Quatre membres présumés du Hamas, soupçonnés d'avoir planifié des attentats, ont été arrêtés à Rotterdam (Pays-Bas) et à Berlin (Allemagne), a annoncé le parquet fédéral allemand, jeudi 14 décembre.  D'après le parquet, ils sont " membres du Hamas depuis plusieurs années ". Selon les enquêteurs, les quatre hommes étaient en contact avec un dirigeant de la branche armée du mouvement islamiste et souhaitaient attaquer des institutions juives en Europe.  Ils sont suspectés de rassembler des armes dans la capitale allemande en vue d'attaques terroristes.  Parmi les trois hommes arrêtés à Berlin, deux sont de nationalité libanaise et le troisième de nationalité égyptienne. L'homme arrêté à Rotterdam dans le cadre d'un mandat d'arrêt européen est de nationalité néerlandaise.  Quatre autres personnes ont été arrêtées,

La France gèle les avoirs du chef du Hamas à Gaza

La France a gelé les avoirs de Yahya Sinouar, le chef du Hamas à Gaza, ce mardi 5 décembre. Yahya Sinouar, 61 ans, aurait planifié l'attaque du 7 octobre contre Israël. Il s'agit de la pire attaque contre des civils depuis la création d'Israël en 1948 avec un bilan de 1 200 morts. A Gaza, les bombardements et les combats menés par Israël ont fait près de 16 000 morts, selon les chiffres du Hamas. Les avoirs de Yahya Sinouar ont été gelés pour six mois, selon un arrêté daté du 30 novembre et publié au Journal officiel ce mardi. Ceux du chef de la branche militaire du Hamas, Mohammed Deif, font l'objet d'un arrêté similaire daté du 13 novembre.  En novembre, Laurence Boone, secrétaire d'Etat chargée de l'Europe, avait plaidé pour la mise en place de sanctions européennes visant de hauts responsables du Hamas, notamment financières. " La France travaille à assécher les sources de financements " du Hamas, a indiqué le ministère de l'Economie et des

Israël savait que le Hamas planifiait une attaque sans précédent

Le renseignement israélien savait que le Hamas préparait une attaque inédite, d'après une enquête du New York Times, parue jeudi 30 novembre. Des responsables israéliens avaient obtenu plus d'un an à l'avance le plan du Hamas visant à mener une attaque sans précédent contre l'Etat hébreu. Mais ils avaient jugé ce scénario irréaliste. Le renseignement israélien avait en sa possession un document d'une quarantaine de pages du Hamas, détaillant une vaste attaque comme celle perpétrée le 7 octobre. Connu sous le nom de code " Jericho Wall ", ce document ne donnait aucune date pour une éventuelle attaque.  Cependant, il définissait des points précis pour saturer le dispositif sécuritaire israélien puis attaquer des villes et des bases militaires. Il y est notamment mentionné un barrage de roquettes, des drones détruisant des caméras de sécurité, mais aussi des combattants franchissant la frontière en parapente, en voiture et à pieds. Des éléments au cœur de l&#

Trois morts dans une attaque à Jérusalem, revendiquée par le Hamas

Trois personnes ont été tuées et six autres blessées par deux hommes qui ont ouvert le feu sur un arrêt de bus, dans la partie ouest de Jérusalem, ce jeudi 30 novembre. Les victimes sont trois Israéliens : deux femmes de 24 et 67 ans, et un homme de 73 ans. Les deux auteurs ont été abattus par deux soldats, qui n'étaient pas en service, et par un civil armé.  Les assaillants ont été identifiés comme deux frères, Mourad et Ibrahim Nemr, affiliés au Hamas. Le mouvement palestinien a revendiqué l'attaque, appelant à une " escalade " contre l'Etat hébreu. L'attaque est présentée comme " une réponse naturelle aux crimes sans précédent de l'occupant dans la bande de Gaza et contre des enfants à Jénine ". Deux garçons de 8 et 15 ans ont été tués par l'armée israélienne dans cette ville de Cisjordanie, mercredi. Cet attentat intervient alors que la trêve avec Israël a été reconduite in extremis jeudi matin pour un septième jour. Deux soldats israélie

La trêve entre le Hamas et Israël prolongée de 48h

Le Qatar a annoncé avoir trouvé un accord pour prolonger de deux jours la trêve dans la bande de Gaza, ce lundi 27 novembre.  La trêve entre le Hamas et Israël va se poursuivre. Le mouvement palestinien avait annoncé dans l'après-midi préparer une nouvelle liste d'otages à libérer dans le but de " prolonger la trêve ". La pause dans les combats, entamée vendredi, devait s'achever mardi matin à 7h. Depuis le début de la trêve, 39 otages ont été libérés dans le cadre de l'accord, ainsi que 24 otages hors accord, en majorité des Thaïlandais qui travaillaient en Israël. 117 prisonniers palestiniens ont été relâchés, respectant le ratio d'un otage du Hamas contre trois prisonniers d'Israël.  Trois mineurs franco-israéliens figurent sur la liste des otages que le Hamas doit libérer ce lundi soir. Ce quatrième groupe d'otages libérés était censé être le dernier de cette trêve, avant l'annonce de la prolongation de la trêve.  Pour le secrétaire général

Accord conclu entre le Hamas et Israël pour la libération de 50 otages et une trêve de 4 jours

Le gouvernement israélien a approuvé, ce mercredi 22 novembre, l'accord prévoyant la libération de cinquante otages aux mains du Hamas, en échange de la libération de prisonniers palestiniens et d'une trêve de quatre jours à Gaza, selon un communiqué officiel. La trêve devrait entrer en vigueur jeudi à 10 h, heure locale. L'accord conclu concerne la libération de 50 otages israéliens, en priorité des femmes et des enfants, contre 150 Palestiniens détenus en Israël.  Pour chaque dizaine d'otages supplémentaires qui seront libérés, la trêve sera prolongée d'un jour, précise le communiqué israélien. Selon les autorités israéliennes, le Hamas a enlevé plus de 200 personnes lors de l'attaque du 7 octobre. D'après les données officielles, des ressortissants de 26 pays autres qu'Israël, souvent binationaux, figureraient parmi les otages. Selon le Qatar, la trêve doit également permettre l'entrée d'un " plus grand nombre de convois humanitaires et d

Un navire pris d'assaut et détourné par des rebelles Houthis en mer Rouge

Des rebelles Houthis se sont emparés d'un navire appartenant à un homme d'affaires israélien, dans la mer Rouge, dimanche 19 novembre. Une vidéo diffusée par les rebelles montre un hélicoptère se poser sur le pont du bateau Galaxy Leader. Une dizaine d'hommes en descendent pour prendre d'assaut la cabine de pilotage. Le cargo a été convoyé vers le port yéménite d'Al-Salif, à Al-Hodeïda.  Aucun Israélien ne se trouve parmi les 25 personnes à bord du navire commercial, exploité par un groupe japonais. Les autorités japonaises réclament la libération des 25 membres d'équipage. Les rebelles houthistes au Yémen, soutenus par l'Iran, avaient déjà envoyés des missiles vers Israël. Ils ont officiellement déclarés la guerre à l'Etat hébreu le 8 novembre, en raison de la riposte militaire du pays sur la bande de Gaza à la suite de l'attaque du Hamas.  Les Houthis, qui contrôlent une partie du Yémen en guerre, " vont continuer de mener des opérations milit

La militante palestinienne Ahed Tamimi arrêtée par l'armée israélienne

L'activiste palestinienne Ahed Tamimi a été arrêtée par l'armée israélienne, lundi 6 novembre, en Cisjordanie occupée.  La jeune femme de 22 ans, figure de la cause palestinienne, a été interpellée dans son village de Nabi Saleh, en Cisjordanie. Elle est accusée d' " incitation au terrorisme " pour un message posté sur Instagram. D'après sa famille, elle n'en serait pas l'autrice.  Son interpellation s'inscrit dans un raid de l'armée israélienne " visant à appréhender des individus soupçonnés d'être impliqués dans des activités terroristes et d'incitation à la haine ". Selon un porte-parole de l'armée, elle a été " transférée aux forces de sécurité israéliennes pour un interrogatoire plus approfondi ".  Ahed Tamimi est une icône palestinienne depuis des années, où chacune de ses altercations avec des soldats israéliens est filmée. Comme en 2015, quand la jeune fille âgée de 14 ans mord la main d'un militaire

Emmanuel Macron attendu mardi en Israël

Emmanuel Macron va discuter de la création d'un Etat palestinien et de " l'arrêt de la colonisation " lors de son déplacement en Israël mardi 24 octobre. Selon l'Elysée, ce lundi 23 octobre, le président de la République va aborder les sujets de la création d'un Etat palestinien et de " l'arrêt de la colonisation " en Cisjordanie, à l'occasion de sa visite en Israël. Pour la présidence française, " le seul moyen d'être utile, c'est : d'apporter de la solidarité à Israël ; prendre des engagements très clairs contre les groupes terroristes ; rouvrir une perspective politique ".  Plus de deux semaines après l'offensive du Hamas, le chef de l'Etat va appeler à la " reprise d'un véritable processus de paix ". Il compte s'engager pour " la libération des otages " détenus à Gaza. Emmanuel Macron assure vouloir " freiner l'escalade " et " éviter la généralisation du conflit

Gaza : l'aide humanitaire au compte-gouttes

Un nouveau convoi d'aide humanitaire a passé la frontière égyptienne pour se diriger vers Gaza, ce dimanche 22 octobre. Composé de 17 camions, le convoi est passé par le point de passage de Rafah. Six camions citernes ont été vus transversant la frontière. Ils transporteraient du carburant. L'OMS avait demandé jeudi à Israël d'autoriser l'entrée de carburant dans l'enclave, afin d'alimenter les générateurs des hôpitaux et les stations de désalinisation.   Samedi, un premier convoi humanitaire de 20 camions était entré. L'ONU avait estimé que sa cargaison n'équivalait qu'à 4% des importations quotidiennes de Gaza avant le début de la guerre. Au moins 100 camions par jour seraient nécessaires aux 2,4 millions de Gazaouis, dont la moitié sont des enfants, privés de tout. Au terminal égyptien de Rafah, des centaines d'autres véhicules attendent le feu vert pour entrer sur le territoire palestinien.  La situation est " catastrophique " dans

L'église orthodoxe Saint-Porphyre touchée par une frappe israélienne à Gaza

Une frappe aérienne de l'armée israélienne a détruit l'annexe de l'église orthodoxe Saint-Porphyre de Gaza, jeudi 19 octobre.  Le ministère gazaoui de la Santé dénombre au moins 16 chrétiens palestiniens tués lors de l'attaque israélienne. Ces chiffres n'ont pas encore été confirmés. De nombreuses autres personnes ayant trouvé refuge dans l'enceinte de l'église ont été blessées.  Le patriarche orthodoxe de Jérusalem " a exprimé sa plus ferme condamnation des frappes aériennes israéliennes qui ont touché l'enceinte de son église dans la ville de Gaza ". Le chef religieux a qualifié l'attaque de " crime de guerre ". Les églises servent souvent d'abri pour les civils. Bâtie autour de 1150, l'église Saint-Porphyre de Gaza est la plus ancienne église active dans la ville. L'armée israélienne reconnaît avoir endommagé une façade de l'église en visant un centre de commandement et de contrôle se trouvant à proximité. Israë

Deux syndicalistes de la CGT interpellés pour " apologie du terrorisme "

Deux militants de la CGT du Nord ont été interpellés pour apologie du terrorisme, ce vendredi 20 octobre.  Le secrétaire départemental Jean-Paul Delescaut et une salariée, syndicalistes de la CGT, ont été interpellés. Ils ont été arrêtés " à 6h20 chez eux par des policiers cagoulés pour apologie du terrorisme, en raison [du] soutien [de la CGT du Nord] au peuple palestinien ".  Une soixantaine de syndicalistes s'est rassemblée devant le commissariat de Lille pour demander leur libération, ce vendredi matin. Les gardes à vue des deux militants ont été levées aux alentours de 13h30. Le parquet de Lille a fait savoir que l'enquête " se poursuit ".  Cette arrestation serait liée à la distribution d'un tract de soutien au peuple palestinien, d'après la centrale syndicale. Ce tract, diffusé le 10 octobre, comportait notamment ce passage " Les horreurs de l'occupation illégale se sont accumulées. Depuis samedi, elles reçoivent les réponses qu'e

Frappe meurtrière sur l'hôpital Al-Alhi Arab à Gaza : à qui la faute ?

Une explosion a ravagé l'hôpital Al-Alhi, à Gaza mardi 17 octobre au soir. Le bilan est toujours incertain.  Au moins des dizaines, voire des centaines, de personnes, dont des déplacés du conflit qui s'abritaient dans l'enceinte de l'établissement, auraient été tuées.  Le Hamas accuse Israël d'avoir perpétré cette frappe meurtrière. De son côté, Israël rejette la responsabilité sur le Jihad islamique, une autre organisation islamiste armée à Gaza. Le groupe palestinien a fermement démenti cette accusation.  Pour étayer sa version, l'état-major israélien a diffusé un enregistrement audio qu'il présente comme une conversation interceptée entre deux membres du Hamas. Les deux hommes y évoquent un tir raté par des combattants du Jihad islamique, depuis un cimetière proche de l'hôpital.  Ce mercredi 18 octobre, l'Autorité palestinienne demande une enquête de la Cour pénale internationale (CPI) sur l'explosion, d'après une annonce de sa représentan

La justice saisie pour "apologie du terrorisme" après les propos de Danièle Obono

Gérald Darmanin saisit la justice pour " apologie du terrorisme " après les propos de la députée Danièle Obono sur le Hamas, ce mardi 17 octobre.  Sur " Sud Radio ", la députée de La France Insoumise a qualifié le mouvement islamiste de mouvement de résistance, sans confirmer le caractère terroriste de l'organisation.  A la question " Est-ce que le Hamas est un mouvement de résistance ? ", l'élue a répondu " oui ". Elle a ajouté que le Hamas est " un groupe politique islamiste qui a une branche armée, qui a pour objectif la libération de la Palestine et qui résiste à une occupation ".  L'association Jeunesse française juive et le ministre de l'Intérieur ont annoncé sur X déposer plainte pour " apologie du terrorisme ". La Première ministre Elisabeth Borne a accusé La France Insoumise de " (s'exclure) du champ républicain " en refusant de qualifier le Hamas de " terroriste ".  Les propos

L'AEI alerte sur le risque de pénurie de diesel en Europe cet hiver

L'Agence internationale de l'énergie dit craindre une pénurie de diesel en Europe cet hiver, dans un rapport publié ce jeudi 12 octobre. L'AEI met en garde contre un risque de " pénuries " de diesel cet hiver, en raison de contraintes d'approvisionnement. Le rapport estime que l'Europe aura besoin " d'importations soutenues " en provenance d'autres pays, notamment si l'hiver est rude. " Il faudra peut-être un autre hiver doux pour éviter les pénuries ", avertit l'AIE. " Dix mois après l'entrée en vigueur de l'embargo de l'UE sur le brut russe ", destiné à assécher la rente pétrolière de Moscou, " les raffineurs européens peinent toujours à augmenter leurs taux de traitement et leur production de diesel ", explique le rapport. La guerre entre le Hamas et l'Etat d'Israël pourrait aussi impacter l'approvisionnement en pétrole.  Le contexte international et les contraintes d'ap

Plus de 100 Israéliens otages du Hamas après l'offensive du 7 octobre

Plus de 100 Israéliens sont retenus en otage par le Hamas, après l'offensive du groupe palestinien contre l'Etat d'Israël . Le bilan communiqué dimanche par le gouvernement israélien indique que " plus de 100 prisonniers " sont détenus par les groupes terroristes palestiniens. Le Hamas et le Jihad islamique assurent maintenir au moins 130 personnes en captivité. Des civils et des soldats ont été capturés lors de l'offensive du Hamas contre l'Etat d'Israël samedi 7 octobre.  Le dernier bilan fait état de plus de 700 morts côté israélien, et de 560 Palestiniens tués lors de la riposte israélienne. 250 personnes ont été tuées lors d'un festival de techno, qui avait lieu dans le désert, près de Gaza. La moitié des otages civils seraient des festivaliers de cet évènement. Ces enlèvements d'Israéliens aux mains des groupes palestiniens sont " sans précédent " dans l'histoire du pays, a reconnu un porte-parole de l'Armée de défense d

Au moins 70 Israéliens et 198 Palestiniens morts dans la guerre entre le Hamas et Israël

Le Hamas a lancé une offensive contre Israël, à l'aube ce samedi 7 octobre. Au moins 70 Israéliens et 198 Palestiniens ont été tués, selon un dernier bilan. Des " centaines de blessés " ont été recensés par la Maguen David Adom, l'équivalent israélien de la Croix-Rouge.  Le Hamas a annoncé avoir déclenché l'opération " Déluge d'Al-Aqsa " contre Israël. Le leader de la branche armée du Hamas, Mohammed Deif, a déclaré que 5 000 roquettes ont été tirées vers Israël.  L'armée israélienne a alerté sur l'intrusion d' " un nombre indéterminé de terroristes " sur son territoire. Le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a déclaré que le Hamas " paiera un prix sans précédent " pour sa " guerre ". En représailles, Israël a lancé l'opération " Glaives de fer ". L'armée israélienne a annoncé que plusieurs " dizaines (de ses) avions de combat (étaient) actuellement en train de frapper un cer